entre dominant [pv flocon,terminé]

Death quitta son troupeau pour prendre un peu l'air. Son ventre gargouillait, mais il tint bon jusqu'à la rivière. Là-bas, il y but des gorgée d'eau et s'allongea par terre. Le dominant regarda silencieusement les poissons qui nageait dans la rivière. Mais sachant qu'on était jamais trop prudent, même sur son territoire, Death resta attentif à tous les bruits. Quand un oiseau passa près de lui, le chef sauta et se mit à galoper après lui, les croc en avant. Il l'attrapa et l'envoya par terre.

-sal'té d'volatile !!

Alors qu'il crachait les plumes, un autre bruit se fit entendre. Des bruits de sabots. Death se mit en garde et regarda dans l'eau de la rivière qui ça pouvait être. Mais sa crainte s'apaisa quand il vit flocon sortir. Il lui dit d'un ton glacial:

-que me vaut l'honneur de ta visite sur mes terres, flocon?

-Pff, t'es un chef et ta peur de quelque bipède? Lavette, viens, il en valent pas la peine


Ceux-ci arrivèrent, fusil en main et une rangée de chevaux attraper derrière. Death se retourna et piqua la plus grosse colère de tous les temps:

-ils en valent pas la peine, sauf quand il vole des chevaux de mon troupeau

Sur ce, Death fonça sur les cavalier et les mordit sans scrupules.

-Hé flocon, m'aide pas surtout !!

-faut croire que cet incapable à pas réussit à les exterminer.

Death alla vers vers les membres de son troupeau. Tous le monde allait bien. Quand il vit le jeune louvetaux, auprès de sa mère. Il prit celle-ci par le cou et le bébé le mordit. Death lui jeta un regard glacial et il arrêta. Le dominant emmena la louve dans la forêt, le louvetaux à côtés de lui. Ils arrivèrent ua repaire des loups, et Death rendit la carcasse au petit, puis retourna voir flocon.

-Hé bin, ils t'on pas loupé ! dit-il en regardant la jambe de l'étalon.

Voyant l'incendie, Death courut vers son troupeau et les mit à l'abris sous un rocher. Mais une jument se mit à crier. Elle appelait son petit, il n'étaient pas avec eux. Le dominant jeta un coup d'oeil dehors et apperçut un poulain effrayer au milieu des flammes. Death bondit en dehors de la cachette et galopa vers le petit. Une fois près de lui, il lui mordit la nuque et retourna à la cachette. Sa mère sortit pour aller le chercher, mais une branche tomba à ce moment là devant la jument. Puis ce fut un tronc, mais il l'écrasa. Le poulain se dégaga de l'empris du dominant et courut vers le corp inerte de sa mère. Celle-ci, coincer sous le tronc, ne montrait plus un signe de vie. Un autre allait céder, alors Death emmena le poulain à l'intérieur. La pluie tomba, et quelque temps après, l'incendie s'arrêta. Tout le monde sortit et rentra dans la plaine. Du moins ce qu'il en restait. Death alla à la rivière, disant qu'il les rejoindrait plus tard. Puis d'un coup, il se retourna vers Flocons, qui était revenus:

-Ca vas faire une perte pour le troupeau.

Quand Flocon lui dit de partir pour trouver un autre territoire, Death éclata sans plus attendre:

-Le quitter !! Mais tu vas pas bien !! Ces terres sont les notres, et on y restera !!

Death se retourna et sur ces mots, partit en direction du poulain. Le dominant lui enleva un bout de bois qui était sur son front, puis s'adressa de nouveau à Flocons.

-De plus, c'est pas comme si j'avais confiance en toi. Qui me dit que tu n'en profitera pas pour le prendre? Et de toute façon, dans quelque semaine, l'incendie aura laisser place au herbe et au arbre. C'est pas la peine que l'on parte d'ici.

Jamais je prendrait tes térritoires,mais où vivra tu en attendant la semaines prochaine?

Sur c'est mots,il parti,a la fois vexé et triste.
Il revint une semaines après,et le sol était aussi noir que du charbon,rien n'avait repoussé.

Je te l'avait dit,comment va tu faire maintenant.

[desoler si c'est court,je dois me dépécher]

-j'vais m'débrouiller. Qui te dit que tout à été toucher? Et comment on as fait pour nous nourrir pendant une semaine?

Death connaissait un endroit. Une sorte de lieu abandonée, où personne 'navait mis les pied. Ils se trouvaient au fond d'une grotte, et le troupeau n'y venait qu'en cas de grande nécessiter.

-Et toi, je pense que l'incendie à toucher un peu de tes terre

(vérouiller]